Une fenêtre sur ma vie

4 jobs que j'ai faits dans ma vie :
- Réviseur comptable dans un cabinet d'expertise.
- Auditeur dans un cabinet d'audit.
- Administratrice d'un outil informatique + différentes autres occupations (compta, sox etc) dans un grand groupe.
- Guichetière dans une banque.

4 films que je regarderai, reregarderai, rereregarderai, rerereregarderai, rererererererere.. :
- Le diner de cons
- Dirty dancing
- Anastasia
- euhhhh

4 endroits où j'ai vécu :
- Dans le sud, près de nice
- Ivry sur seine
- Paris 14éme
- et c'est tout pour le moment !

4 émissions de talent que je regarde :
- Déco
- Capital
- Zone interdite
- et un peu tout ce qui passe à la télé et qui me paraît intéressant

4 endroits où je suis allée en vacances :
- Peniscola en espagne
- Faro, portugal
- Un coin paumé dans l'aveyron
- Pau

4 sites web que je visite toujours :
- Les blogs (quand j'ai le temps)
- mes trois boîtes mail
- le site de mon école
- un moteur de recherche très connu pour trouver des infos pour mes dossiers

4 plats favoris :
- Crêpes.
- Pâtes.
- Pizza.
- Confit de canard.

4 endroits où j'aimerais mieux être maintenant :
- En vacances, quelque part loin des cours et du stage.

- A nice près de mes parents.
- Au canada.
- Ou bien à New York (toujours voulu visiter).

Un petit week-end sous le soleil niçois, par ces températures douces voires mêmes chaudes dans le sud, c'est bien entendu l'idéal, sauf que...
c'était sans compter sur la séance prise(s) de sang de ce matin (visite médicale du travail oblige...tout ça pour un stage !), suivie d'une séance radio des poumons (toujours pour la même raison)...et, cerise sur le gâteau, soutenance ce soir pour valider (et passer à l'étape supérieure par la même occasion) mon diplôme bac +4.
M'enfin, à partir de ce soir, je suis en "vacances" pour deux jours avant de reprendre le rythme effréné des cours...Surtout qu'ils vont pas nous épargner cette année : on doit être "ready", c'est à dire opérationnel sur le marché du travail. C'est bien beau tout ça mais je me repose quand moi? J'ai déjà la réponse : jamais, never, tu peux toujours rêver...(barrer la mention inutile)
Pour notre dernière année en tant qu'étudiants, ils vont nous en faire baver, histoire qu'on oublies pas (quoi? j'sais pas moi...c' que c'était que d'être libre, de passer la journée à glander, de dormir...)

   *****

Tréves de plaisanteries, j'adore parler de moi mais, faut bien l'avouer, ça n'intéresse que moi tout ça. Alors, je pourrais polémiquer sur un tas de sujets mais il y a des gens qui le font déjà et beaucoup mieux que moi en plus...
Non, j'vais plutôt vous laisser et je vais réviser (m'entraîner) ma soutenance...Wish me luck ;-)

A bientôt !

[Bande son : Lilly Allen - Smile]

Je n'ai pas été très présente ces derniers temps mais, j'ai quand même de bonnes raisons : tout d'abord j'ai été assez occupée récemment et de plus, j'avais un peu perdu mon inspiration (pas trop envie de vous ennuyer avec mon quotidien banal).

La semaine dernière donc : début de stage, lundi matin, et rentrée, vendredi après-midi. Pour résumer : je me lance dans l'aventure de l'alternance, je vais souffrir cette année entre les journées de cours non-stop sans pause pour manger le midi (comment je vais faire?), les cours le samedi matin parfois, les dossiers et autres exposés, le stage...et puis ma vie en dehors de tout ça quand même !

La stage s'annonce bien : première grande boîte, ça change beaucoup. Le badge pour rentrer dans le bâtiment, pour utiliser les ascenseurs, pour rentrer dans les bureaux et pour manger le midi (strop bien la cantine d'ailleurs). La carte pour accéder à mon ordinateur. Mon bureau open space super high-tech, dont je peux choisir la hauteur grâce à un petit bouton (j'étais estomaquée là). Les jolis locaux tout en verre, avec un rez de jardin trop agréable même en octobre. L'équipe sympa et dynamique. Et le boulot bien sûr.

Ma nouvelle école : son objectif est clair = nous former à trouver un bon job à l'obtention du diplôme. Pour cela, il va falloir bosser et pas qu'un peu. Un programme chargé à venir et je suis déjà paumée (plusieurs cours en même temps, comment je fais moi ??!!). Des jeunes et des moins jeunes. Bref, ça va pas être de tout repos.

Et ma vie dans tout ça? Mon appart commence à ressembler à quelque chose : un joli salon tout repeint à la déco assez class' je dois dire, un joli buffet pour la cuisine (qu'il a passé à monter tout samedi), bientôt une salle de bain refaite à neuf et un autre week-end peinture de prévu avec mon père.

J'ai fêté mon anniversaire (et le sien aussi) la semaine dernière (et la semaine d'avant aussi) : merci à tous pour vos cadeaux et d'avoir pensé à nous.
Mais bon, cela n'empêche que j'ai encore veilli d'un an, que je m'éloigne de plus en plus de l'adolescence et de mes dix-huit ans. J'ai 22 ans alors que dans ma tête, j'en ai encore 19. Voilà, je suis une adulte maintenant : j'ai mon appart, je me gère (presque) toute seule...j'veux plus grandir !

Enfin bon, c'est la vie...on apprend, on fait des erreurs, on connaît des réussites, des déceptions, on grandi...

Après m'être bien baladée pendant le mois de septembre, me revoilà à Paris. La course entre le déménagement, les révisions, le mémoire, la recherche de stage est presque finie. Je commence à être bien installée dans mon petit nid douillet avec mon chéri. Nous allons pouvoir prévoir une date pour la crémaillière afin de montrer tous les travaux et aménagements que nous aurons fait. Mais avant, ce week-end : peinture, papa vient nous donner un coup de main, ça promet d'être fatiguant !

Je me sens chez moi dans ce deux pièces que nous avons aménagé selon nos goûts et nos moyens. J'aime beaucoup le quartier, calme et vivant à la fois, les petits restos, les commerces, le vue sur une partie de la tour mont*parnasse. Ici, tout est proche, pas besoin de prendre le métro (sauf pour aller travailler), tout est accessible à pied. Du coup, mon portefeuille se sent beaucoup plus léger et ma garde-robe a été agrandie. Vivement que je reprenne le boulot : je serai trop occupée pour dépenser mon argent.

Et le boulot promet d'être prenant et intéressant : j'ai trouvé un stage en alternance dans un grande boîte qui commercialise du carburant (et dont le nom ne commence pas par "T"). Au programme, compta internationale et comptes conso (que du bonheur !) : parfait pour donner une orientation internationale à ma carrière et pour mon projet de départ à l'étranger, outre-atlantique.

Reprise des cours aussi : je vais devoir me faire plein de copains, je ne connaîtrai personne, mais ça ne me fait pas trop peur. Je suis une aventurière moi ! Cela me permettra de rencontrer du nouveau monde. Dernière année d'étude. J'ai envie de dire "vivement la fin" mais, la vie d'étudiant a quand même de bons côtés parfois...

Une nouvelle année à Paris commence.

Une semaine loin de Paris, loin de mon chéri et loin de mon nouvel appart !
Une semaine de repos, cadencée par quelques exams pour ce foutu D**** (ceux qui me lisent depuis le début, sauront sûrement de quel exam je parle).
Une semaine sous le thème de la famille.
Une semaine pour se défouler.

Le temps du questionnement et de la remise en cause sont à l'ordre du jour : cet exam que j'ai passé sans grande conviction cette année, est-ce que je veux vraiment l'obtenir (vu ma motivation pour réviser, je dirai non, mais c'est plus compliqué que ça) ? Et si je quitte la France, il ne me servira strictement à rien. Un exam synonyme de "meilleur salaire", certes, mais aussi de quantité exponentielle de boulot, de stress (c'est pas bon pour mes mains ça, tu la vois toi l'expert-comptable handicapée des mains...), moins de temps pour les loisirs, moins de temps avec la famille...ah quoi bon. Je me le demande...

Et d'un autre côté, je serais fière de moi si je pouvais aller jusqu'au bout (à mon rythme à moi) et de me dire que je l'ai fait. Si je le fait, c'est pour moi, pas pour les autres. Juste moi. Egoïste oui mais, après tout, c'est moi que je dois convaincre. Les autres semblent déjà convaincus de mes capacités pour la plupart de mon entourage.

Et puis, une idée me vient en tête : pourquoi ne pas se renseigner sur les diplômes en vigueur là bas? Pourquoi ne pas tenter l'expertise à l'étranger puisque c'est là que je souhaite aller...? A développer...

Une semaine pour prendre soin de moi aussi. Mes mains vont bien, merci. Je combat l'eczéma sereinement, en sachant que ce combat est perdu d'avance. 21 ans (bientôt 22) que je vis avec cette saloperie, c'est pas aujourd'hui que ça va partir. Mais sur les mains franchement...y a rien de plus pratique. Rien que de tenir une brosse à cheveux peut devenir un supplice.

Eviter tout contact avec les produits ménagers, tout frottement. Ne pas se gratter. Accepter le regard "mi horrifié/mi dégoûté" des proches et de l'entourage. Expliquer que, non, ce n'est pas contagieux (encore heureux hein). Ecouter les gens te dire qu'il faut te soigner (non, c'est pas vrai !!?!!). Répondre aux questions. Ecouter les conseils inutiles. Dépenser une fortune en médicaments et en docteur...Ce n'est pas que je me plaigne mais, parfois, j'ai l'impression que les gens n'imaginent pas vraiment ce que c'est et croient que ça me plaît d'avoir ce truc sur les mains.

Non, ça ne me plaît pas. Non, je n'aime pas ça. Parfois, je voudrais même qu'on me coupe les mains pour ne plus avoir à me gratter jusqu'au sang. Mais, à chacun son problème de santé, j'ai appris à vivre avec. Je sais à peu près le soigner, même si je dois aller voir un docteur pour la prescription de crèmes et pommades en tout genre.

Bon, je sais que ça n'intéresse personne l'état d'âme de mes mains. Mais, râler un peu, c'est quelque part salvateur.

Une semaine dans l'endroit où j'ai grandi. Retour aux ressources qui, bientôt, va s'achever et, bien que je sois heureuse de retrouver mon chéri et ma ville d'adoption, un petit pincement au coeur. Je suis si bien près d'eux, loin des soucis des cours et de la vie quotidienne. Une coupure avant la reprise.

Courage, dernière année d'études (enfin pour l'instant...).

Eh oui ! Je n'ai pas encore disparu de la blogosphère mais, ces derniers temps, je n'ai pas vraiment eu ni l'occasion, ni la possibilité de poster un petit message.

Une absence de près de 1 mois et demi.

Un mois d'Août rythmé par les révisions (exams de septembre oblige), juste une pause pour le 15 Aout sous le soleil niçois.

Fin Aout, déménagement : meubles, cartons, allers-retours, galères, crises de nerf, poussière, grosse réaction allergique.

Début Septembre : notre appart commence enfin à ressembler à quelque chose. On attend encore quelques meubles et après il faudra s'attaquer à la peinture. Des travaux pour la salle de bain sont prévus mais, là, c'est la proprio qui s'en charge.

Je suis privée d'internet jusqu'à ce qu'un certain opérateur téléphonique bien connu daigne nous ouvrir la ligne. Ce qui signifie que je ne donnerai pas très souvent des nouvelles. Juste quand je trouverai un bout de net à squatter.

Cette semaine : chez les parents (c'est bien, y a internet !), famille, repos, exams et des amis à revoir...

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Je reviendrai quand j'aurai plus le temps d'écrire.

Titre à double sens pour une note à double sens. Pour dissiper les doutes, non ce n'est pas le dernier jour de la (courte) vie de ce blog - quoique je me suis demandé si j'allais continuer de garder en vie ce petit espace mais, j'aime encore l'idée d'avoir ma petite place à moi dans l'immense blogosphère- en espèrant que mes quelques lecteurs fidèles soient toujours là.

Aujourd'hui, c'est mon dernier jour de stage alors, pour ne pas déroger à la règle, je finis mon stage comme il se doit, c'est à dire en bloguant. Bien sûr, je n'ai pas passé six à bloguer et à glander (heureusement parce-que sinon je serais déjà plus là pour le raconter...l'ennui tue, c'est bien connu) mais il est vrai que j'ai pu me ménager quelques pauses par-ci, par-là pour glandouiller sur le net (l'outil essentiel pour un stagiaire).

Voilà, six mois qui finissent, qui s'achèvent...Six mois dans une entreprise, c'est long et c'est court à la fois. Six mois pendant lesquels j'ai appris. Et pas seulement sur mon (futur) métier. Non. J'ai aussi appris sur la vie au travail, les collègues, les patrons, les responsabilités...Je suis arrivée un peu naïve et trop confiante en autrui (pas en moi, faut pas rêver non plus). Et j'ai pris une bonne claque dans la gueule : quand tu dis rien, que tu tais, que tu te fais toute petite, et bien les gens te marchent dessus, sans pitié, sans se retourner, sans s'arrêter pour t'aider à te relever.

Non. Tu es toute seule et tu es trop timide pour ouvrir la bouche. Tu crois que ça se fera tout seul. Mais, quand tu vois que rien ne se fait alors, là, tu te dis "plus jamais ça, la prochaine fois, c'est moi qui décide, c'est moi qui serait en position de force...". Mais, quand tu n'es pas taillée pour ça alors quoi? Tu va te faire avoir toute ta vie? J'ose espèrer que non parce que sinon je suis mal barrée moi. Il paraît que la confiance en soi, ça s'apprend. Ben, moi, j'ai beau essayer ça bloque toujours à un moment ou à un autre. Difficile d'être exigeante. Difficile d'avoir des prétentions quand on se considère comme débutante, pas encore assez qualifiée pour tout ça. Et pourtant...ça peut changer une vie de se faire un peu entendre.

Il viendra quand mon jour à moi. Faut secouer un peu tout ça pour que je me réveille. Ouvre les yeux Linsay : dans la vie, on a rien sans rien...

Comme cela fait un moment que je ne suis pas venue par ici, j'ai tout plein de choses à dire...Enfin, deux ou trois au moins.

Quoi de neuf chez moi? Pas mal de chose : je suis enfin inscrite en mastère (après moultes péripéties avec la poste...c'est pas bon pour le stress du tout), j'ai trouvé mon appart (donc crémaillière bientôt) et je suis bientôt en vacances.

J'ai vraiment hâte d'emménager mon mignon pitit appart parisien : enfin un petit chez moi que je pourrai personnaliser et décorer à mon goût. Fini la résidence pour étudiants. Fini le quartier moche et pourri. La seule chose qui fait mal (au compte en banque), c'est le loyer. Mais, il va me changer la vie ce nouveau "chez moi".

Quant à mes vacances, rien de croustillant. Non, je ne pars pas au soleil, au bord de la mer, loin de Paris. Juste quatre ou cinq jours dans le sud, chez mes parents. Comme quoi, c'est pas si cool que ça d'être étudiant. Pas de vacances cette année : au programme, révisions, mémoire et déménagement.

Mais, tout va bien pour mon mémoire, il se porte très bien même. Il arrive bientôt à terme (et une bonne chose de faite). J'espère qu'il me permettra de clore ces quatre années dans mon école comme il se doit. Un peu peur de décevoir mes profs parce que c'est pas facile de se mettre à travailler sur un mémoire alors qu'on est en stage. J'ai presque oublié que je suis stagiaire et pas salariée (mais ils sont sympas dans ma boîte, ils me l'ont bien rappelé ou en tout cas, mon compte en banque, il le sait lui).

Sinon, je suis pas bronzée (et bien dégoûtée) mais je sors quand même. Et, j'ai de quoi faire : jap*an ex*po, soirée entre potes, apéros en bas de l'immeuble...et bientôt feu d'artifice et défilé du 14 J. J'avoue qu'à Paris, c'est un peu (beaucoup) du suicide mais il faut vivre dangereusement ! Mode ironie on *J'aime ça moi être dans la foule et marcher sur trois kilométres pour trouver une station de métro ouverte * Mode ironie off

Je souhaite quand même de bonnes vacances à ceux qui ont la chance de partir sous les cocotiers (ou ailleurs).

Six mois déjà...six mois que nous avons entamé une nouvelle année. De l'espoir. Des rêves. Des ambitions. La vie...

L’heure du bilan est arrivée.

En six mois, j'ai changé de ville, de rythme de vie et j'ai commencé à construire un bout de mon avenir à Paris, auprès de lui.

Six mois de joie, d'amour, de galère, de stress, de petites et grosses peurs. Six mois ici dans ma ville, celle que j'ai choisie ou plutôt qui m'a choisie. Jamais je n'aurais imaginé vivre ici un jour, y faire ma vie...quitter le sud, le soleil et la mer. Mais pas pour longtemps, pas pour toujours. J'y retournerai dans mon petit paradis, près d’eux. Mais pour l’instant ma vie est ici, elle m’appelle.

Encore plein de choses à faire, à construire. Il faut que je continue d’avancer malgré les petites épreuves auxquelles je dois faire face. Ne jamais abandonner, ne jamais renoncer. Garder la tête droite et avancer.

Durant ces six premiers mois, j’ai découvert un métier, je me suis rapprochée de gens et je me suis éloignée d’autres. J’ai appris que, dans la vie, il faut se battre. Quitter un peu de ma timidité, apprendre à m’affirmer.

Je me suis appropriée une nouvelle vie. J’ai appris à marcher seule, mais jamais loin de lui, eux…Je devrais m’estimer heureuse et chanceuse de toujours avoir été bien entourée. Avoir des gens qui croient en moi, ça vaut de l’or. Surtout quand, moi-même, je ne crois pas (ou peu) en moi. Encore, ce manque de confiance. J’ai bien essayé de l’abandonner sur le bord de la route. Mais, il retrouve toujours son chemin.

Six mois pour prendre conscience de ce qu’est la vie, de la chance que j’ai. Six mois pour grandir. Un peu.

Il y a six mois, je me languissais de vivre ma vie, indépendante (mais avec lui) et libre. Mais, aujourd’hui, quand je regarde les enfants, si insouciants et joyeux, je me dis qu’il ne faut pas vouloir grandir trop vite. Laisser le temps au temps. S’épanouir à son rythme. Maintenant que je vis cette vie, je ne regrette rien. J’apprécie trop mon indépendance (certes limitée) et être à ses côtés.

L’année n’est pas encore finie. A moi, d’en faire l’année de mon accomplissement. Je sais ce qu’il me reste à faire…

Oui, j'ai beau avoir plein de choses à faire, je traîne toujours sur la blogsphère (addiction quand tu nous tiens).

Alors, quoi de neuf chez Linsay...

Le mémoire avance tranquillement, je stresse pour un rien (et les monsieurs de la poste sont méssants avec moi), je visite une résidence mercredi (bah oui, tant qu'à prendre plus grand, pourquoi pas une résidence hein lol...), j'ai pas encore commencé mes révisions (et j'ai pas envie)...et je stresse toujours autant.

Cette année, j'aurai carburé au stress et à l'adrénaline pendant au moins les six premiers mois. S'il vous plaît laissez moi tranquille, parce que je sais pas si je supporterai les six autres mois sans *)$* Enfin voilà quoi...

A part tout ça, j'ai vu mon papa la semaine dernière (ça faisait que cinq mois me direz vous) et j'étais trop contente : deux bons petits resto (dont un en tête à tête), de la rigolade et tant d'autres choses.

La semaine dernière a aussi été l'occasion de faire un peu la fête : soirée des anciens de mon (presque) ancienne école. Du vin, des copains, des souvenirs = linsay qui boit trop et qui est totalement bourrée à la fin de la soirée. Je sais même pas comment j'ai fait pour rentrer chez moi et ne pas oublier de faire mon changement de métro à place d'it'... MDR

Sinon, je suis en grande réflexion personnelle pour mon futur. On va se la jouer C. Bradshaw (même si je suis pas bonne à ce jeu) : veut-il mieux privilégier sa vie sentimentale (qui doit logiquement mener à une vie de famille) ou sa carrière? Alors, voilà la question : Can we have it all?

On se la pose tous un jour ou l'autre cette question... Et vous, entre carrière et vie de famille, vous choississez quoi?